Paris 8 fait son cinéma
20e édition
mercredi 8 novembre 2023
A LA PAROLE ERRANTE
9 Rue François Debergue, 93100 Montreuil
programme
BAMBINO Un film de Marthe Pitous
9’39 – 1.77 – COULEUR – FRANCE – 2022
C’est le dernier jour de l’été sur le bord de la Nationale 20 et Eden s’apprête à quitter tout ce qu’il a connu. Il déambule aux abords de la route une dernière fois et s’arrête à différents endroits faire ses adieux aux personnes et aux lieux qui l’ont vu grandir.
OLYMPIC TRASH Un film de Erik Semashkin
2’54 – 1.77 – COULEUR – FRANCE – 2023
Des déchets font du sport en vue des Jeux Olympiques 2024 de Paris.
PARIS NE M’APPARTIENT PAS Un film de Bianca Dantas
3’25 – 1.77 – COULEUR – FRANCE – 2023
Un portrait de Paris à travers le regard d’une immigrée.
VIVANTS Un film de Alice Ganz
3’16 – 1.77 – NOIR & BLANC – FRANCE – 2023
Un premier spectacle vivant, cinq récits s’entrecroisent sous un air de trompette.
FIESTA SE PERD Un film de Rémi Salvador
7’ – 1.77 – COULEUR – FRANCE – 2023
Fiesta, une petite marionnette vivant en colocation avec son ami monstre Mustang va faire l’expérience d’un rêve lucide dans lequel il va traverser des joies, des peines et une remise en question de la réalité et de sa propre existence.
À CONTRESENS Un film de Isis van Groeningen
1’50 – 1.77 – COULEUR – FRANCE – 2023
Court métrage tourné vers l’absurde, sans paroles, inspiré du thème de la différence, mais le but est que tout le monde puisse se raconter sa propre histoire.
PARTIE VOIR LA MER Un film de Apolline Deyhle
8’36 – 1.77 – NOIR & BLANC – FRANCE – 2023
Mini film-essai sur la notion d’exil, images d’archive.
UNU Un film de Odilon D’Alù
5’59 – 1.77 – COULEUR – FRANCE – 2023
Dans une performance de danse contemporaine en trois parties, les danseurs explorent la relation complexe entre l’homme et la nature.
JE SUIS AVEC ELLE Un film de Mélodie Cissou
12′ – 1.77 – COULEUR – FRANCE – 2023
Pendant un été, Loona, 18 ans, part en voyage avec ses ami.e.s. Elle y découvre sa sexualité, partagée entre Hisham et Maude. Deux histoires entremêlées, inaboutie qui lui permettent de se connaître.
ÎLE Un film de Jules Talbot
9’23 – 1.77 – NOIR & BLANC – FRANCE – 2023
Sur les berges d’un monde étrange, en noir et blanc, une jeune femme se réveille. Alors qu’elle reprend ses esprits, se pressent à elle certaines interrogations. Un jeune homme semble détenir les réponses à ses questions et voudrait l’emmener sur une île…
exposition
TRANSFERTS De Charles Tristram et Alice Velte
Planches de papier «pur chiffon», papiers divers, transferts au salicylate
Cet ensemble photographique a été réalisé de manière collaborative pour cette 20ème édition de Paris 8 Fait Son Cinéma.
Nous avions envie d’ouvrir un dialogue entre certaines images issues de nos archives respectives. L’expérimentation à partir de la technique du transfert nous a offert la possibilité de cette rencontre visuelle et a permis aux images de se montrer sous un nouveau jour. Une fois mis en lien, les souvenirs se racontent différemment et proposent en filigrane des bribes de nouvelles histoires.
DÉVIER De Juliette De Sierra,
Cinq photographies argentiques — Un tirage sur papier dos bleu, 80 x 120 cm — Quatre tirages sur papier epson premium luster, 30 x 40 cm – 2022-2023
Ces images s’inscrivent dans une recherche en cours sur les modes de représentation des femmes et des minorités de genre, au prisme de leur rapport à l’espace public. Espace urbain ou rural, il est notamment le lieu d’injonctions patriarcales et de contraintes sur les corps minorisés.
Dévier est l’ébauche d’un récit en images de trajectoires de femmes mobiles, qui s’écartent et se libèrent des assignations à l’espace de l’intérieur, à la passivité et à la prudence.
LA THEORIE DES EO(A)LIENNES (titre provisoire) De Leia Lebert
28 planches – Format A5 – Images & textes – Captures d’écrans de vidéos en mini DV – Papier photo mat, calque, rhodoïd – Juillet 2023.
Cet été, à la campagne chez un ami, j’ai beaucoup filmé. Pendant notre séjour, cet « ami m’a dit : je pense que les éoliennes servent à fabriquer des paysages en hologrammes » ; j’ai regardé mes rushs, c’était évident ! Alors je me suis mise à écrire. A quoi servent vraiment toutes ces éoliennes ? Ce projet tient à questionner ce territoire particulier de « lieu-dit », (là où il y a plus d’éoliennes que d’habitant·es), tout en jouant sur ces particularités : curieux, flottant, étrange, à la frontière du fantastique… Il devrait ainsi prendre la forme d’une édition mêlant images et textes.
Cet été, à la campagne chez un ami, j’ai beaucoup filmé. Pendant notre séjour, cet « ami m’a dit : je pense que les éoliennes servent à fabriquer des paysages en hologrammes » ; j’ai regardé mes rushs, c’était évident ! Alors je me suis mise à écrire. A quoi servent vraiment toutes ces éoliennes ? Ce projet tient à questionner ce territoire particulier de « lieu-dit », (là où il y a plus d’éoliennes que d’habitant·es), tout en jouant sur ces particularités : curieux, flottant, étrange, à la frontière du fantastique… Il devrait ainsi prendre la forme d’une édition mêlant images et textes.
THE PAMELA PROJECT De Léonie Vella
Avec Fanie Soren
« It’s no work of art it’s Pamela »
C’est un projet qui est né suite à l’envie de créer un personnage à suivre au fil de ses aventures. Je plonge dans mes souvenirs pour évoquer l’adolescence, l’amour et la douleur.
Inspiré par les romans d’Annie Ernaux et le mouvement punk des années 70 Pamela incarne mes tourments, mes rêves et mes questionnements enfouis. Elle n’a pas de limite et n’a pas peur de s’agiter pour se faire entendre, c’est pour ces raisons que je l’admire.
Pour suivre ses aventures rendez-vous sur Instagram @arclenn
FLUX / FLUIDES De Lou Chrétien
Moi, c’est Lou.
Je passe ma vie entre photographie et cinéma, où je fais mes premiers pas en tant que réalisatrice et cheffe opératrice. D’abord touche-à-tout, je me suis rapidement spécialisée en photographie, mon médium de prédilection depuis l’enfance. Puis au fil du temps, certaines de mes images ont commencé à bouger, et d’autres sont restées immobiles. Après une prépa beaux-arts et un bachelor de photo aux Gobelins, j’ai intégré Paris 8 en licence de cinéma l’année dernière. Je suis issue d’une famille où psychanalyse et psychiatrie sont omniprésentes. Elles occupent donc une place fondamentale dans mon travail. Je me laisse à penser que parfois, une image peut chuchoter des réponses qu’on cherchait, ou même crier des questions qu’on voulait rester enfouies.
En fonction des projets, j’aime alterner ou mêler humour noir, absurde flashy et poésie enfantine, pour traiter les thématiques qui forment les facettes du prisme à travers lequel je perçois le monde : ici, les corps sont tour à tour bousculés et bercés par la sexualité, la nourriture et la folie. Entre rêve et cauchemar, doux et acide, liquide et solide, poétique et cynique… J’aime jouer sur les rapports de contraste, d’équilibre instable qui caractérise l’humain. Bienvenue dans ma tête, et au plaisir !
LE POINT ROUGE De Lucie Bonnet
Installation vidéo participative et itinérante
Dans un espace clos, une caméra regarde là où deux personnes (ou +) peuvent s’assoir, appuyer sur REC et…
AU CHINOIS
Le Chinois, 6 Place du Marché 93100, Montreuil
LINE UP
Trois-Quarts Taxi System b2b DalidaCarnage
et vjing VJ886TA
0K0 (live)
et vjing Cassiopée&Égérie Blonde
Bivou4c
Lowcalguide